Ce parfum est le fruit du mélange audacieux du bois blanc chauffé par le soleil avec des notes gourmandes à peine sucrées. Bois de cèdre et écorce de cannelle, forts et puissants, sont apaisés par la subtilité d’une amande discrète et d’une fleur d’oranger légèrement retenue qui patine l’ambiance. Cette création élégante s’épanouit dans deux soins moussants que la vapeur de l’eau sublime pleinement.

Nopal en Amérique du Sud, Opuntia en France, ce figuier s’orne, au printemps ou en été, de grandes fleurs jaunes et oranges en même temps. Belles, soyeuses et plutôt larges, elles préparent l’arrivée en suivant des fruits.

Cette fleur, une fois séchée et infusée, possède des vertus thérapeutiques. La tradition berbère (peuple qui explique le nom du figuier « de Barbarie ») recommande cette boisson chaude contre les maux digestifs. On retrouve dans d’autres pharmacopées l’utilisation de cette infusion lors d’un refroidissement ou en cataplasme sur des plaies ou contusions pour les réduire (la fleur serait hémostatique).

On obtient en cosmétique une eau de sa fleur par une distillation à la vapeur. Ce procédé isole des molécules actives bien différentes de celle du pépin donnant une huile rare. Cette eau se fait sur la peau légèrement astringente, hydratante et rafraichissante.

Vous savourez cette belle eau dans toutes nos émulsions Cactéa.

L’oranger amer, aussi appelé bigaradier, est le seul arbre à présenter feuilles, fruits et fleurs en même temps. Ces dernières sont cueillies à la main au Maroc lors de la première floraison fin avril, début mai. Toutes les parties de la plante possèdent des vertus officinales, mais nombre de cultures connaissent bien l’eau de ses fleurs, dite Eau de néroli. Elle est recueillie lorsque l’huile essentielle est extraite à la vapeur en douceur. 

Cette eau florale très odorante est réputée pour favoriser le sommeil (en Europe, on apprécie quelques gouttes dans du lait chaud le soir), ou encore pour préparer le fameux « café blanc » libanais (on la dilue dans de l’eau chaude sucrée pour profiter de ses vertus digestives).

La cosmétique l’utilise pour ses nombreuses vertus. Elle se fait apaisante, éclaircissante grâce à un bioflavonoïde de sa composition, antimicrobienne et même capable de booster la cohésion cellulaire. 

Spécialement imaginé pour habiller des soins destinés au visage et plus particulièrement à le purifier, ce parfum joue avec les éléments, avec des accents parfois terreux, parfois aqueux ou encore aériens. Cette valse sensorielle est orchestrée par des fruits. La fraîcheur du melon se déguste avec des hespéridés joyeux – le citron acidulé et la bergamote franche évocatrice du thé Earl Grey. La note ozone traverse la création pour un accord aérien et aquatique, emportant dans son souffle un peu de la douceur du timide muguet vert.

Pour la ligne Cactéa, qui tient ses vertus de l’huile de Figue de Barbarie, la création olfactive présente une facette très élégante de son fruit frais. L’attaque de l’arôme est très joyeuse, spontanée, avec un accord de menthe pétillante et de jasmin blanc légèrement crémeux. Se révèle presque aussitôt une figue de Barbarie fraîchement cueillie, gorgée de jus, accompagnée d’une tranche de pêche mûre. Les tonalités florales ont fait place aux notes, gourmandes mais très équilibrées, d’un fruit vrai. L’ensemble repose sur un ensemble apaisant : une pointe rassurante de musc doux sur du bois blanc, note très chère au parfumeur.
Ce parfum signature, doux et frais, s’apprécie avec délice matin et soir.

Il existe deux types d’amandiers : l’amer et le doux. L’amandier amer se distingue par sa fleur et son fruit plus gros que ceux de l’amandier doux. De ce dernier fruit très nutritif est tirée la célèbre huile d’amande douce. Connue en cosmétique depuis l’Antiquité, les vertus adoucissantes, émollientes, et même anti-âge de cette huile ne sont plus à démontrer. Nous avons également utilisé dans notre gamme la fleur de l’amandier doux en extrait émollient et sa poudre en tant qu’exfoliant doux.

L’arganier, arbre endémique du sud marocain, joue un rôle écologique essentiel contre la désertification et l’érosion des sols. Cet arbre donne une huile comestible si son fruit a été torréfié ou une huile végétale cosmétique si elle est extraite en première pression. L’huile d’argan bénéficie d’un label de garantie IGP (Indication Géographique Protégée) qui valide sa provenance. Elle ne supporte pas la chaleur pour conserver ses principes actifs et son goût agréable. 

La filière économique de cette huile se distingue par sa grande particularité à impliquer des femmes, souvent en situation fragile. Elles récoltent l’argan puis produisent son huile pour le compte de petites collectivités.

La cosmétique apprécie les composants uniques de cette huile, surtout des omégas 6 et 9, la vitamine E et le squalène. Ses acides gras poly-insaturés lui confèrent plus particulièrement des vertus anti-âge et anti-oxydantes que les femmes berbères savaient intuitivement depuis des siècles. L’huile d’argan reconstruit la barrière cutanée, limite la perte en eau de la peau et augmente la synthèse de collagène.

Nous apprécions aussi la coque du noyau – résidu de la fabrication de l’huile – qui séchée et réduite en poudre, devient un exfoliant naturel efficace.

On la rencontre parfois sous le nom de kaolin, en souvenir de la cité chinoise Kao-Ling où elle fut également découverte. Elle est l’une des premières sources de produits de beauté naturels, jusqu’à la naturopathie et le soin de animaux. Il n’est pas rare de panser un cheval qui boite avec un emplâtre d’argile. 

Il est le rosier sauvage et porte un faux-fruit : le cynorrhodon. Ultra-riche en vitamine C, ce fruit est recherché en hiver pour se protéger du rhume et plus généralement tonifier l’organisme.Nous avons utilisé l’extrait anti-oxydant et anti-bactérien de sa belle fleur pour la composition de notre gamme.

Cette plante annuelle offre ses petites fleurs de mai à juillet. Après les fleurs viennent des petits fruits, en fait des graines dont on tire l’huile.

Peu utilisée après le moyen-âge, bien que mellifère (elle attire les abeilles), cette plante ne revient qu’au 19ième dans les cultures du Nord de la France où on utilise sa paille pour recouvrir les toits et consommer son huile alimentaire. Puis on l’oublie… A la fin du 20ième siècle cette plante est remise au goût du jour, reconnue comme « alicament » soit un produit actif sur la santé et le bien-être.

On redécouvre sa composition, sa très haute teneur en omégas également très intéressants en cosmétique : omégas-3 acteurs de l’élasticité de la peau et apaisants, omégas-6 pour limiter les pertes en eau de la peau et omégas-9 nourrissants et protecteurs.

Cactéa associe cette huile à celle du pépin de la Figue de Barbarie pour une synergie vertueuse d’omégas spécifiques.

L’huile de Figue de Barbarie est la plus rare et la plus chère du monde. Cette huile ne se livre pas facilement… Il faut récolter à la main des fruits garnis de piquants très blessants, récupérer les quelques pépins nichés dans la pulpe, les nettoyer, les sécher puis les broyer. Le rendement est très faible : un litre d’huile demande 800 kilos de fruit frais.

Les intuitions millénaires de ses vertus cosmétiques sont aujourd’hui scientifiquement confirmées. Cette huile est un bouclier végétal au vieillissement de la peau. Elle véhicule ses tocophérols anti-radicalaires, ses acides gras essentiels multiples (surtout omégas-6 limitant la perte en eau de la peau et omégas-9 nourrissants et protecteurs) ainsi que ses stérols apaisants. On a pu prouver qu’elle restructurait le collagène, ces fibres essentielles à la bonne qualité des tissus cutanés.

Cette huile possède un toucher signature extrêmement doux.

Cactéa met en lumière cette puissante huile et innove. Elle est intégrée dans nos formules à des dosages extrêmement hauts (10-13%) et associée à des sources d’omégas différents pour offrir un « menu nutritionnel complet » à la peau.

Le grenadier originaire de la Perse nourrit depuis des millénaires de nombreuses légendes aussi bien dans les religions que dans la mythologie (ainsi, quelques graines de grenade croquées par Persephone aurait donné vie aux saisons ; elle est le fruit emblématique d’Aphrodite…).

Dans l’Egypte et la Grèce antiques son jus est déjà considéré comme un purifiant de l’intestin, vertu aujourd’hui démontrée. Très riche en vitamine C et B6 et en polyphénols, la médecine traditionnelle recommande toujours ce fruit frais contre la toux et la fièvre.

L’huile de pépin de grenade possède elle aussi une riche composition dont un fort dosage d’omégas-5 (l’acide punicinique qui lui est particulier), de vitamines E et F et d’omégas-6. Ces molécules lui confèrent des vertus antioxydantes, nourrissantes, adoucissantes et apaisantes. Un mélange parfait pour entretenir la beauté de la peau.

Cet arbre très anciennement cultivé se rencontre aujourd’hui sur toutes les zones arides et semi-arides chaudes du globe. La datte fait partie des quatre fruits pectoraux (avec le jujube, le raisin de Corinthe, la figue) qui s’appréciaient en décoctions contre les affections pulmonaires. Très nutritif, on recommande aujourd’hui ce fruit aux sportifs et aux convalescents. Son fruit exceptionnellement sucré et riche en glucides est délicieux : on fait encore du « miel de datte », alors que des boissons médiévales utilisaient son noyau en aromate. Ce fruit contient également des minéraux, des acides aminés, de la vitamine C, du rétinol.

Son extrait est naturellement reminéralisant ; l’huile de son noyau est riche en omégas 6 et 9 qui en font un bel actif adoucissant qui limite la perte en eau de la peau.

Nous utilisons également une huile de dattier du désert qui n’est pas issue du même arbre. Cet autre actif est riche en acides gras insaturés (omégas 6 et 9) aux vertus adoucissantes et émollientes, en phyto-stérols actifs sur la cohésion du film hydrolipidique et en vitamine E anti-oxydante. 

Son nom traduit bien son lieu de culture de prédilection. En latin « rosa centifolia », elle révèle l’impression qu’elle donne de cent pétales (« cent feuilles »). Connue également sous le nom de  « rose de mai » ou  « rose de Grasse» sa couleur rose vif varie d’intensité, son parfum est léger et délicat. 

La cosmétique l’utilise pour sa douceur, beaucoup de femmes en orient comme en occident l’utilisent pour se démaquiller. Au Maroc, elle sert à diluer le rhassoul – une forme d’argile – pour se concocter un masque pour la peau ou le cheveu.

Les ingrédients dont elle est la source (huile essentielle, extrait, eau) demeurent onéreux car elle ne fleurit qu’une fois par an.

Il s’agit d’un cactus qui possède plusieurs noms selon les continents (nopal en Amérique du Sud, opuntia en France…). Il demeure très connu pour son fruit, comestible, mais surtout pour l’huile extraite des pépins de ce dernier. Ce figuier a longtemps été considéré comme plante invasive, alors qu’aujourd’hui il aide à combattre la désertification de certaines zones arides. Toute la plante est vertueuse : ses « raquettes » nourrissent le bétail ou sont cuisinées au Mexique ; ses fleurs et fruits regorgent de vitamine C.

Si ce figuier pousse en liberté au Maroc, peu d’huiles végétales demandent autant de fruits frais, de précision dans le geste et d’infinie patience. Issue du broyage des pépins de la figue, l’huile se récolte au rythme d’un goutte-à-goutte.

Considérée comme l’huile la plus chère au monde du fait de son rendement très faible, ce produit s’apprécie surtout pour son incroyable activité anti-oxydante et sa riche composition. Obtenue par pression à froid, naturellement protégée par la vitamine E qu’elle renferme, cette huile extra-pure offre à la peau des actifs intacts et puissants. Les intuitions millénaires de ses vertus anti-âge sont aujourd’hui scientifiquement confirmées par sa teneur en plusieurs types de tocophérols anti-radicalaires et en acides gras essentiels multiples (omégas 6 et 9) aux actions protectrices, nourrissantes et régénérantes.

Riche en vitamine  E et omégas 3, 6 et 9,  l’huile de germe de blé est réputée pour ses propriétés antioxydantes, et ses vertus nourrissantes et émollientes.  Elle protège contre les rayons UV, aide à la cicatrisation et prévientles signes de vieillissement de la peau.

Ce produit accompagne les hommes depuis toujours, il a toujours eu au fil des civilisations un caractère et un statut particulier. Les Dieux de l’Olympe boivent de l’ambroisie – un mélange de lait et de miel. Dès la plus Haute Antiquité, Romains, Grecs comme Egyptiens le consomment et l’utilisent pour soigner plaies et brûlures ou même embellir la peau. Ses vertus régénérantes et antiseptiques sont depuis toujours reconnues, mais aujourd’hui scientifiquement validées.

On peut l’utiliser pur ou sous forme d’extrait en cosmétique pour bénéficier de ses nombreux bienfaits détoxifiants, adoucissants, régénérants et de sa teneur en vitamines, minéraux, acides aminés…

Il s’agit d’une argile récoltée dans l’Atlas marocain où les terres ne sont pas fertiles mais sèches. Le rhassoul est peu travaillé, seulement mis à sécher au soleil puis éventuellement réduit en fine poudre pour en faciliter l’usage. 

Pharmaceutique et cosmétique font un grand usage du rhassoul qui peut neutraliser des substances ou purifier un milieu, l’eau par exemple.

Il se distingue des autres argiles par sa capacité à absorber beaucoup d’eau (1,66 son poids), devenant ainsi une pâte fluide. Les rituels marocains ancestraux apprécient depuis toujours son activité nettoyante.

Le rhassoul est souvent travaillé avec une eau florale et même de l’huile d’argan pour un masque 100% naturel.  Sur la peau ou le cheveu, il capte sébum et impuretés agissant comme un savon minéral naturel.

Il désigne la gomme-résine exsudée par un petit arbuste qui croît dans les régions subdésertiques d’Arabie. On incise son tronc pour qu’il sécrète son oléorésine odorante et gommeuse. On utilise les « larmes » de résine quand elle est récoltée pure au sortir de l’arbre ou sous forme de « marrons » quand elles sont tombées par terre.

Jaune pâle ou jaune rougeâtre, il dégage une odeur aromatique aux accords de térébenthine. L’encens se consume facilement, dégageant son fort arôme, spirituel par essence.

La médecine traditionnelle l’utilise en fumigation contre les affections respiratoires du fait de sa forte teneur en huile essentielle (de 3 à 9%).

La cosmétique l’apprécie pour ses vertus régénérantes et même anti-irritations grâce à son huile essentielle.

Cette création très florale a été imaginée pour le visage en s’appuyant sur des fleurs à la belle prestance. La rose du matin, encore perlée de rosée, entre en scène avec la violette et sa douceur de bonbon. Le dialogue s’installe en douceur, alors que le lilas fait son apparition avec son caractère étonnamment balsamique, fleuri et épicé. L’ylang en note de fond se laisse découvrir avec ses petits airs de jasmin – mais plus transparent – et de délicieuses facettes épicées. Tous les ingrédients d’un accord floral inoubliable sont réunis.

Cette création devait sublimer la fleur d’oranger dans un soin pour le visage. Le parfum propose de la retrouver, mais dynamisée par des alliances olfactives originales. La note de tête apparait avec un trio d’agrumes : la bergamote pour sa joie de vivre d’hespéridée, le néroli chaud et capiteux, le petit grain pétillant. Pour de belles harmonies, la fleur d’oranger apporte une légère amertume apaisante, l’ylang un effet fleur blanche, avec une pointe de rose pour du velouté…. L’ensemble repose sur un fond boisé doux, avec le musc toujours propre, le bois d’oranger rassurant, chaleureux, et enfin le santal, bois sensuel et doux. Une nouvelle fleur d’agrume dont on ne se lasse pas.

Cette note est le fruit d’une composition d’épices poussées à leur extrême et dont on ressent la puissance… mais en toute subtilité. Le benjoin véritable résine d’arbre en garde les nuances douces et lactées. Il se dépose sur un musc calme, enveloppant, et de l’ambre, note chaude et sensuelle, légèrement poudrée. L’ensemble est structuré par un fond de cannelle douce et une myrrhe qui peut rappeler l’encens. Cette résine prend ici une tonalité aromatique proche de la mousse. La création en devient inoubliable, comme nos soins pour le corps qui l’ont adoptée.

Cette création flatte les fleurs et plus particulièrement le jasmin, plus mystérieux que jamais… On le découvre en note de tête, puis présent au cœur de la composition où ce floral-fruité développe des facettes presque animales. Il se conjugue à l’ambre sensuel puis à une pivoine qui calme l’ambiance avec son caractère léger, aérien, presque ressemblant à du muguet. En note de fond le lys s’impose peu à peu pour laisser sur la peau sa note ultra-suave.

Véritable création pour des soins capillaires, cette note devait évoquer la pureté et voleter sans lourdeur dans le cheveu. L’authenticité marocaine est recomposée dans une note très poudrée : le bois de santal aux teintes lactées et suaves s’associe à l’ambre – l’oriental à la fois poudré et chaud. Le cèdre résineux par essence est apaisé par une touche veloutée de cuir. Le patchouli, note terreuse presque humide, est toujours parfaitement accompagné par le cèdre et le santal pour un accord final très agréable.

Le nom est franc comme sa note ! Impossible de ne pas être emporté par cette rose de jardin gourmande, puissante et veloutée. Elle repose sur une violette poudrée, à peine cireuse et une praline qui sucre la composition par ses facettes gourmandes, un peu caramélisées et très suaves. Le fond est construit autour d’un santal mystérieux et d’un néroli discret. Ce parfum peut évoquer des fruits rouges, mais la gourmandise et la douceur de la rose sont les maîtres d’orchestre de cette extraordinaire composition. Vous l’aimerez dans des soins pour le corps où les notes jouent parfaitement avec la peau.

Cette création nous emporte au cœur du bois vrai. La note est franche, chaude, affirmée et puissamment addictive. Les bois résineux comme le cèdre ou balsamiques comme l’eucalyptus dialoguent avec des notes épicées. La cannelle prend des accords vanillés en jouant avec ces bois et une touche d’eau de rose, alors que la noix de muscade développe ses facettes poivrées et chaudes. Ce parfum très aromatique se fait délicieusement piquant et enveloppant. On l’apprécie dans nos soins pour le corps aux formules 100% huileuses.

Voilà une amande twistée par des associations originales pour nous offrir ses facettes les plus mystérieuses. Le musc, toujours doux et presque soyeux, donne l’impression de propreté et s’accorde harmonieusement avec l’amande dont il sublime les aspects boisés. La violette se dépose comme un souffle poudré et doux ; elle est comme boostée par une aubépine, fleurie et très douce. Ce parfum se révèle dans la chevelure et accompagne une partie de nos créations capillaires.